Beau temps, chaud, vent humide, pluie
Après 11h00 de bateau, le beau temps et les belles températures de la Sardaigne nous accueillent !
A nos T-shirt Points de Chutes !
Pas de répit pour les aventuriers, l’appel du caillou est plus fort que tout !
Découverte d'un secteur proche de la ville de Sassari doté d’un très beau château fort ! Malheureusement nous avons eu des difficultés à trouver le site. Faute de trouver du caillou, on grimpouille les remparts.
En route pour Capo Testa, pointe nord de la Sardaigne, la route est jonchée de formes étonnantes et de granit multiforme. Petite grimpe en bord de mer : « C’est vachement bien sauf que c’est vachement dur ! » raconte Vincent. Le caillou est lisse, pas de prise ! On grimpe dans du 6c max « On attrapait les paires ! Ben ouais y avait pas de prises, y avait pas de prises ! ». Heureusement, il y avait le magnifique phare de Capo Testa avec une vue sur la France, au loin Bonifacio, la terre Corse, nostalgie !
…Nuit humide en compagnie de chats sous des réverbères en bord de route, accueillis par des péripatéticiennes ! Etrange la côte nord est de la Sardaigne ! Nan !...
Le 9 janvier, on n’a pas touché un caillou, camion BigCloud lui s’est dégourdi les roues !
Belle route, très montagneux, « ultra verdoyant » beaucoup de gros chênes, la mer en contre bas, une légère ressemblance avec l’Irlande ?!
Les sites de grimpe explorés, pour des informations plus détaillées rdv dans l’onglet « Falaises » :
- Siniscola ou la grimpe en ville
- Cala Gonone ou « Tu passes un tunnel après Dorgali et là t’as une vue, t’es en haut avec une vue sur la baie avec la ville en bas ! ».
Rencontre avec la grotte où « tu t’accroches pour le prononcer, normal c’est de l’italien ! » Biddiriscottai. Une grimpe illusoirement idyllique : les pieds dans le sable, oui mais, « It’s Wet, it’s Wet » nous rappelleront deux nouveaux allemands rencontrés. Ben oui ,c’est humide et puis pas qu’un peu, les doigts collent, c’est déguelasse ! Déçus !
- Dorgali, « tu sais la ville derrière le tunnel » ! Beau !
- Cala Fuili où « Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis »
Après un premier repérage sans vrai déclic, on décide d’y retourner. Des gorges, aux falaises « rogeris », fameux mélange entre du rose, orange et gris, avec de belles colos, nous attendent. Même si la forme n’est pas au beau fixe l’envie de grimper est toujours là !
Pour ce 5ème soir en Sardaigne on décide de quitter le bord de mer pour aller dormir un peu plus dans les terres, sans réverbères, ni chats et autres intrusions étranges ! Nous sommes entre Nuoro et Dorgali, pour info.
Bonus
Les galères mémorables de ces 5 premiers jours en 4 points :
- BigCloud a failli se jeter dans le précipice, ben oui marre de rouler quoi !
- Des manœuvres rock’n’roll
- Trouver un lieu convenable pour stationner et pour dormir : 100€ ont été économisés grâce à un départ en trombe pour semer les policiers italiens qui parlent bien le « français italien », ben oui c’est interdit de camper en bord de mer !
- Le "cornet de bif" ou la nourriture des aventuriers ! Lucky Luke en mange bien alors nous aussi ! Erreur mon cher Waston : un mal de ventre nous a terrassés !
Une petite carte pour vous donner une idée!
Radio BigCloud bientôt disponible en libre écoute sur Facebook!
Eh oui, pour vous raconter tout cela il aura fallu : un enregistrement audio des 2 rock trippers et les petites mains d'Amandine la trésorière de l'asso.
Bon tout va bien, je commençais à m'inquiéter.
RépondreSupprimerEnfin tout... à part une gastro et quelques déboires avec la maréchaussée.
Je vous souhaite de vous régaler sur les falaise et de trouver plus d'hospitalité pour les bivouacs.
J'attends de nouvelles photos...
Bises
merci pour ton message!
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